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Alain Finkielkraut
Alain Finkielkraut | ||
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Nom | Alain Finkielkraut | |
---|---|---|
Date de naissance | 30 juin 1949 | |
Activité | Philosophe
Écrivain Essayiste Animateur de radio | |
Origine | Français |
Alain Finkielkraut, né le 30 juin 1949 à Paris, est un philosophe, écrivain, essayiste et animateur de radio français.
Maoïste dans sa jeunesse, il s'engage au sein du mouvement de mai 68 et fait alors partie de l'Union des jeunesses communistes marxistes-léninistes.
Cependant, il finit par s'éloigner de l'extrême-gauche, se mettant à soutenir des positions géopolitiques interventionnistes. Il finit même critique de l'extrême-gauche au sein du mouvement des nouveaux philosophes.
Bien que très critique de l'antiracisme contemporain, Alain Finkielkraut est lui-même engagé contre l'antisémitisme, dont il est d'ailleurs souvent la cible. Certains antiracistes lui reprochent certains propos jugés racistes ou islamophobes.
Il se revendique comme étant de gauche, mais est parfois également classifié parmi les néo-conservateurs, les réactionnaires ou l'extrême-droite.
Relations avec Alain Soral[modifier]
Dans la bibliographie de son livre Sociologie du dragueur, Soral cite Le Nouveau Désordre amoureux d'Alain Finkielkraut et Pascal Bruckner comme livre digne d'intérêt sur le sujet de l'amour et de la femme.[1]
En 2002, dans son Abécédaire de la bêtise ambiante, Alain Soral décrit Finkielkraut comme étant un "intellectuel communautaire".[2]
En avril 2004, dans Tout le monde en parle, alors qu'Ardisson lui demande de dire du bien d'Alain Finkielkraut, Alain Soral répond que Finkielkraut lui "fait de la peine", qu'il "croit à ce qu'il dit" et qu'il "fait un énorme boulot pour la remontée de l'antisémitisme en France".[3]
En octobre 2004, après qu'Alain Soral se soit fait agresser (d'après Soral et ses soutiens par la Ligue de défense juive, bien qu'elle ait démenti), Alain Finkielkraut s'exprime sur la station de radio communautaire juive RCJ en disant que c'était un "acte ignoble et stupide, inexcusable et débile" mais qu'il "peut comprendre le mouvement de pensée qui pousse à agir ainsi".[4] Bien que Finkielkraut ait nuancé ses propos, Soral lui reprochera par la suite cette dernière phrase.[5]
En février 2009, lors de sa série de vidéos où il demande à diverses personnalités de s'exprimer sur Alain Finkielkraut, Jean Robin interroge Alain Soral. Plutôt que d'improviser une réponse, il lit un extrait de son Abécédaire de la bêtise ambiante dans lequel il parle d'Alain Finkielkraut.[6]
En juin 2014, Alain Soral réagit à l'entrée d'Alain Finkielkraut à l'Académie française. Il le qualifie de "moraliste néoréactionnaire" et de "talmudiste polonais". Il dit que la "boussole" de Finkielkraut serait "non pas ce qui est bon pour l'homme, pour l'intelligence et pour le bien de l'humanité, mais ce qui est bon pour Israël stricto sensu". Il dit que cela expliquerait son évolution idéologique, du maoïsme de sa jeunesse jusqu'à "sa position à la fois néo-Front national et anti-Front national".[5]
Dans l'épisode 6 de Soral a (presque toujours) raison, Alain Soral accuse Alain Finkielkraut d'avoir contribué depuis 25 ans à construire l'armature intellectuelle de ce qu'il appelle le "national-sionisme". Soral accuse également Finkielkraut de ne pas être un philosophe, et dit qu'il ne serait que "juste agrégé de lettres modernes" et "une licence d'anglais". Il le classe parmi la première vague nationale-sioniste, qui donnerait ensuite naissance à la deuxième vague nationale-sioniste avec Éric Zemmour ainsi qu'à la troisième vague nationale-sioniste avec Papacito.[7]
Dans l'épisode 9 d'SAPTR, Alain Soral évoque les insultes qu'a reçues Alain Finkielkraut, et les qualifie de "légitimes" et "défendables".[8]
Dans un bonus de Soral a (presque toujours) raison d'octobre 2019, Alain Soral raconte qu'il aurait suivi Alain Finkielkraut dans les toilettes de la brasserie Le Select peu après qu'il se soit exprimé sur l'agression de Soral en 2004. Il dit s'être adressé à Finkielkraut en lui serrant la main et en se présentant, puis en lui disant :
C'est pas bien de vous réjouir de mon agression, parce que moi vous savez que j'ai plein de musulmans de banlieue qui rêvent de vous égorger, et je suis obligé de les retenir parce qu'ils savent que vous êtes aux ondes le matin pour préparer votre rubrique pour France Culture, on sait que votre maîtresse habite rue Vavin, que vous êtes souvent au Select. [...] J'ai beaucoup de mal à retenir toutes ces hordes qui rêvent de vous faire la peau.
Finkielkraut aurait ensuite selon Soral répondu qu'il est lui aussi pour le dialogue, ce à quoi Soral aurait répondu qu'il est content. Il ajoute qu'il aurait ensuite essuyé sa main sur la veste de Finkielkraut, puis qu'il l'aurait ensuite poussé "dans les chiottes".[9]
Relations avec Dieudonné[modifier]
En 2004, dans son spectacle "Mes excuses", Dieudonné parodie Alain Finkielkraut dans un personnage qu'il appelle "Frédéric Goldinkraut".
En 2005, dans le quotidien israélien Haaretz, Finkielkraut dénonce Dieudonné et dit que "c'est lui qui est aujourd'hui le vrai patron de l'antisémitisme en France, et non le Front national". Il continue en disant qu'au lieu de le combattre, les Français font ce que Dieudonné demande, à savoir enseigner l'histoire de l'esclavage à l'école et de ne plus parler des "bons côtés" de la colonisation. Il dit que "le projet colonial voulait aussi éduquer, apporter la civilisation aux sauvages".[10] Dans la même interview, il accuse également Dieudonné de reprendre l'argumentaire antisémite de Louis Farrakhan, dirigeant de la Nation of Islam.[11] La même année, après que Dieudonné se soit fait agresser en Martinique, Finkielkraut dit sur la radio RCJ :
Je dis que ces jeunes excités [...] font la com' de Dieudonné. Peut-être n'aurait-il pas eu besoin de cela pour jouer deux soirs de suite à guichets fermés devant une foule surexcitée, victime antillaise de l'esclavage, qui vit, aujourd'hui, de l'assistance de la métropole.[12]
Les propos qu'il a tenus dans Haaretz et sur RCJ ont suscité l'indignation de diverses personnalités, notamment d'antillais l'accusant de racisme.
En novembre 2007, dans le magazine américain The New Yorker, Alain Finkielkraut est interrogé à propos de Dieudonné et du nouvel antisémitisme qu'il représente.[13]
Lors du mois de janvier 2014, Alain Finkielkraut fait diverses apparitions médiatiques pour s'exprimer sur l'interdiction du spectacle de Dieudonné. Sur Europe 1, interrogé à propos de Dieudonné, Finkielkraut dit qu'il "n'a que les Juifs en tête". A propos de la quenelle, il dit que, si ce n'est peut-être pas un "salut nazi inversé", cela reste un geste antisémite.[14] Sur i-Télé, après l'interdiction du spectacle de Dieudonné, Alain Finkielkraut juge la décision du tribunal administratif comme étant "catastrophique", car elle aurait été motivée en disant que l'objet essentiel du spectacle de Dieudonné était "de porter atteinte à la dignité humaine", et aurait donc, selon Finkielkraut, seulement comme objet secondaire l'antisémitisme de Dieudonné. Dans la même émission, Plantu, également invité, se dit choqué par l'atteinte à la liberté d'expression que constituerait selon lui l'interdiction du spectacle de Dieudonné. Cela mène à un clash entre Finkielkraut et Plantu. Plantu argue que Dieudonné taperait "sur toutes les religions", et Finkielkraut dit que ce n'est pas la religion juive qui est visée par Dieudonné mais le peuple juif. Plantu accuse Finkielkraut d'être un censeur, ne voit dans les propos antisémites de Dieudonné que des "provocations" et dit qu'"on se croirait chez Ceaușescu".[15] Sur RCJ, Alain Finkielkraut et Élisabeth Lévy débattent ensemble sur l'interdiction du spectacle de Dieudonné. Finkielkraut se prononce dedans pour l'interdiction du spectacle, et Lévy, elle, plutôt contre.[16] Toujours le même mois, Alain Finkielkraut est invité par l'UMP à un petit déjeuner, lors duquel il s'exprime sur l'affaire Dieudonné. Il estime qu'elle est révélatrice de "l'état de la société française", et que son "antisémitisme black-blanc-beur" ne peut être contré qu'en arrêtant d'osciller "entre intransigeance radicale et accommodements [sur la] question lancinante de la laïcité", et que ça ne serait possible sans "réduction drastique de l'immigration et du regroupement familial".[17] En février 2014, Finkielkraut dit que, quelques années auparavant, Frédéric Taddeï aurait souhaité organiser un débat entre lui et Dieudonné, et que Taddeï lui aurait dit que Dieudonné était "disposé à s'excuser" envers Finkielkraut.[18]
Alain Finkielkraut sur Alain Soral et Dieudonné (conjointement)[modifier]
En 2011, Jean Robin interviewe Alain Finkielkraut et lui demande, en prenant en exemple les cas de Soral et de Dieudonné, s'il pense que la censure est efficace. Alain Finkielkraut lui répond que si l'antisémitisme existe, il ne devrait pas avoir le droit d'exister, et que le droit a une fonction symbolique, et que son importance ne se mesure pas qu'à son efficacité. Il s'interroge également sur le lien entre Marine Le Pen et Alain Soral, car, bien qu'elle ait pris ses distances avec les éléments antisémites du FN, elle y a cependant par le passé accepté Soral qui, selon lui, était antisémite "cartes sur table".[19]
En février 2015, dans l'émission de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV, après que Roland Dumas ait dit que Manuel Valls serait "sous influence juive", Finkielkraut l'accuse, aux côtés de Florian Philippot, de se faire le porte-parole des idées de Dieudonné et d'Alain Soral.[20] En octobre 2015, dans l'émission On n'est pas couché de Laurent Ruquier, Finkielkraut tient Soral et Dieudonné responsables de la montée de l'antisémitisme chez la jeunesse française.[21]
En février 2016, Finkielkraut dit que "l'espoir d'Alain Soral et de Dieudonné, c'est de coaliser [...] autour de la haine obsessionnelle des Juifs, une France black-blanc-beur". Il pense cependant que "ça ne va pas réussir" car il croit que "le vieil antisémitisme a vécu".[22] En mai 2016, après la mort de Siné, Alain Finkielkraut le qualifie d'antisémite et rappelle qu'il "avait fait conspuer le nom d'un certain nombre de personnalités juives" avec Alain Soral lors d'un meeting de Dieudonné.[23]
Relations avec Renaud Camus[modifier]
Alain Finkielkraut et Renaud Camus deviennent amis en 2000, lorsque Finkielkraut défend Camus, accusé d'antisémitisme pour avoir évoqué une surreprésentation des personnalités juives à France Culture. Il devient ensuite un invité régulier de l'émission radio Répliques de Finkielkraut.[24]
Le 16 octobre 2002, Alain Finkielkraut est présent lors de la réunion constitutive du Parti de l'in-nocence de Renaud Camus.[24]
En 2003, Renaud Camus dédie son roman L'Inauguration de la salle des vents à Alain Finkielkraut. La même année, ils publient avec Emmanuel Carrère un livre d'entretien, L'Étrangèreté. Dans son Journal de 2003, Rannoch Moor, Camus dit à propos de Finkielkraut : "A l'écouter, j'ai souvent l'impression de m'écouter moi-même".
En février 2014, Alain Finkielkraut est attendu pour témoigner à la barre en faveur de Renaud Camus, alors attaqué en justice pour "incitation à la haine raciale" suite à des propos tenus lors des Assises de l'islamisation. Finalement, le philosophe se désiste, prétextant que la récente affaire Dieudonné aurait "brouillé son discours".[24]
En 2013, dans L'Identité malheureuse, Alain Finkielkraut cite Renaud Camus.[25]
En septembre 2015, Renaud Camus et Alain Finkielkraut visitent ensemble une exposition dédiée au peintre Alfred Manessier.[24] En octobre 2015, interrogé par L'Express, Finkielkraut admet éprouver de l'amitié pour Camus, dont il s'insurge de la "diabolisation". Il précise ne pas adhérer au concept de grand remplacement, parlant plutôt de "substitution démographique". Camus dit également ressentir de l'amitié pour le philosophe, et même de la "considération intellectuelle".[24]
En juin 2017, Alain Finkielkraut invite Renaud Camus dans son émission Répliques sur France Culture, émission lors de laquelle Camus évoque la théorie du grand remplacement et débat face à Hervé Le Bras.[25] Finkielkraut assure ensuite n'entretenir aucune complaisance vis à vis de Camus.[26]
En décembre 2017, Finkielkraut écrit une tribune dans Causeur dans laquelle il déplore de voir Camus "s'égarer". S'il n'exprime pas de désaccord avec lui au sujet de l'immigration, il se distancie des analogies que fait Camus entre le nazisme et le "grand remplacement", estimant que Camus considérerait là les Arabes et les Africains comme "envahisseurs". Il dénonce cependant les détracteurs de Camus qu'il qualifie d'"ignorants" et qualifie ses livres Du sens, Éloge du paraître, Vie du chien Horla, Décivilisation et Les Inhéritiers d'"œuvres majeures".[27]
En octobre 2019, Alain Finkielkraut cite à nouveau Renaud Camus lors d'une interview pour Valeurs actuelles.[25]
Renaud Camus a par ailleurs réalisé un portrait en hommage à Alain Finkielkraut qu'il affiche dans l'escalier en bois du château de Plieux où il réside.[25]
Relations avec Jean Robin[modifier]
En mars 2009, Jean Robin publie un livre sur Alain Finkielkraut intitulé "La Position du missionnaire : Alain Finkielkraut décrypté", dans laquelle il le compare à un missionnaire au sens "voltairien" du terme. Il fait alors une série de vidéos où diverses personnalités donnent leur avis sur Finkielkraut, dont lui-même. Il le décrit comme un "grand philosophe" et un "grand intellectuel", et dit que c'est un des philosophes qui l'a le plus influencé dans sa vie, avec Edgar Morin et Raymond Boudon. Il lui reproche cependant d'être pour la loi Gayssot.[28]
En mai 2011, Jean Robin interviewe Alain Finkielkraut pour son site Enquête & Débat. Il l'interroge entre autres sur la question de la censure, sur son avis sur "La Position du missionnaire", sur son livre "L'Interminable écriture de l'extermination", sur la liberté d'expression selon la gauche et selon la droite, et sur le livre "Vive Le Pen" de Robert Ménard.[29] Dedans, Jean Robin reconnaît "très volontiers" qu'Alain Finkielkraut l'a "beaucoup influencé dans [sa] pensée". A propos de "La Position du missionnaire", Finkielkraut dit qu'il a constaté que Jean Robin avait "fait un travail extrêmement scrupuleux" en ayant lu ses livres et regardé un nombre important d'émissions de télévision et de radio. Il dit aussi qu'il a "restitué [son] itinéraire avec une grande intégrité".[30]
Relations avec Marc-Édouard Nabe[modifier]
En 2000, dans une émission de Serge Moati devait se tenir un débat entre Marc-Édouard Nabe, Alain Finkielkraut, Michel Polac et Renaud Camus. Finkielkraut s'est finalement désisté par refus de paraître aux côtés de Nabe.[31]
En décembre 2015, Finkielkraut dit dans son émission Répliques, à propos de l'émission de Ce soir ou jamais où Frédéric Taddeï a invité Marc-Édouard Nabe pour parler de l'interdiction du spectacle de Dieudonné, que ce passage l'a "bouleversé" et "scandalisé à certains égards". Il dit avoir été très étonné d'entendre Nabe "dénoncer avec véhémence le conspirationnisme" et changer de camp en apparence, mais avoir compris après avoir lu le numéro 1 de "Patience" que Nabe était contre le conspirationnisme seulement car il dépossède Al-Qaïda de ses "hauts faits".[32]
Références[modifier]
- ↑ Alain Soral, "Sociologie du dragueur", 1996
- ↑ Alain Soral, "Abécédaire de la bêtise ambiante", 2002
- ↑ https://www.dailymotion.com/video/x3begt
- ↑ https://www.youtube.com/watch?v=uwFUsgrkS5M
- ↑ 5,0 et 5,1 http://www.egaliteetreconciliation.fr/Alain-Soral-commentaires-de-l-actualite-et-conseils-de-lecture-25711.html
- ↑ https://www.youtube.com/watch?v=FJ9JMou9Ztw
- ↑ https://d.tube/#!/v/ertv/2m1c4xxy
- ↑ Episode 9 de Soral a (presque toujours) raison
- ↑ "Alain Soral – Anecdotes sur BHL, Finkielkraut et Haziza" : https://www.youtube.com/watch?v=9B26Zau-rWk
- ↑ https://fr.wikipedia.org/wiki/Alain_Finkielkraut#cite_note-22
- ↑ https://www.nouvelobs.com/societe/20051123.OBS6303/finkielkraut-les-noirs-et-les-arabes.html
- ↑ http://www.rtl.fr/culture/medias-people/videos-alain-finkielkraut-quand-le-nouvel-immortel-defraie-la-chronique-7781591243
- ↑ https://www.newyorker.com/magazine/2007/11/19/laugh-riots
- ↑ http://www.europe1.fr/mediacenter/emissions/europe-soir-nicolas-poincare/videos/extrait-alain-finkielkraut-dieudonne-n-a-que-les-juifs-en-tete-1767397
- ↑ https://www.youtube.com/watch?v=IrJQuCWJZXM
- ↑ https://www.youtube.com/watch?v=eqABGxosjV4
- ↑ http://www.lefigaro.fr/politique/2014/01/23/01002-20140123ARTFIG00663-finkielkraut-interpelle-les-responsables-politiques-sur-l-integration.php
- ↑ https://www.lesinrocks.com/2014/02/27/actualite/taddei-le-spectacle-des-idees-11476179/
- ↑ https://www.youtube.com/watch?v=Je518TToKWE
- ↑ https://www.egaliteetreconciliation.fr/Alain-Finkielkraut-contre-l-Axe-Dumas-Philippot-Dieudonne-Soral-31179.html
- ↑ https://www.dailymotion.com/video/x38ju24
- ↑ https://www.dailymotion.com/video/x3v8euk
- ↑ http://www.jeanmarcmorandini.com/article-353205-alain-finkielkraut-affirme-que-le-caricaturiste-sine-decede-hier-etait-antisemite-regardez.html
- ↑ 24,0 24,1 24,2 24,3 et 24,4 http://archive.is/3PVbO
- ↑ 25,0 25,1 25,2 et 25,3 Lucie Soullier, "Renaud Camus, aux origines de la haine", Le Monde du 9 novembre 2019
- ↑ Le Rendez-vous du médiateur, 28 juin 2017 : https://www.youtube.com/watch?v=Wwl4665lLnA
- ↑ https://www.causeur.fr/alain-finkielkraut-renaud-camus-roth-148529
- ↑ https://www.youtube.com/watch?v=NQ_fO8m-kYU
- ↑ https://www.dailymotion.com/video/xigdpd
- ↑ https://www.dailymotion.com/video/xii100
- ↑ Renaud Camus, "K. 310 : Journal 2000", 2003
- ↑ https://www.franceculture.fr/emissions/repliques/le-roman-le-reel